Le commencement d’une grande épopée

Le premier arc des Cycles d’Ouranos se polarise sur le plus grand héros de la mythologie grecque, Heraklès, avec HERAKLISKOS qui est son commencement et son premier chapitre.

HERAKLISKOS ?

Herakliskos est un terme qui renvoie directement à l’enfance du héros, référence à deux œuvres de Pindare et Théocrite qui ont utilisé ce terme comme titre (source).

La narration suit les souvenirs d’un Heraklès qui a déjà accompli ses travaux, qui a déjà connu un parcours incroyable, au service d’une déesse (Hera) qui pour beaucoup est un mythe dans un monde où les dieux sont à la croisée des croyances, des fables, des superstitions, mais aussi d’une réalité géopolitique.

Au fil du temps

Le récit s’articule dans un aller-retour permanent entre le passé et le présent, alors qu’Heraklès à la tête d’une flotte de navires portant son emblème fonce vers Ilion. Il se remémore son enfance, sa relation avec ses parents, sa rencontre précoce et conflictuelle avec les Olympiens. Le premier volume raconte les événements qui vont précéder sa fuite, car menacé par ceux qui ont peur de l’homme qu’il peut devenir, à cause d’une simple distinction génétique.

Une histoire d’amitié

Autour du héros, il y a les amis qui feront, qui seront aussi l’histoire de ce premier cycle : Nestor, Poludeukès, Télamon, et plus tard dans le récit Peléus et Kastoreus. Il y a ses parents, Alkmène et Amphitryon avec qui cette histoire raconte une vision inédite des faits. Il n’est pas un prince dans l’attente d’une couronne, mais le fils de fuyards qui se terrent dans une ville qui a déjà été le théâtre d’événements étranges et mystérieux. Œdipe est là, la Phix (la Sphinx) aussi, et les dieux ne vont pas tarder à venir montrer qu’ils ne sont pas qu’une légende mais bien des êtres concrets, inquiétants, menaçants.

Un récit raconté d’une manière totalement inédite

Avec HERAKLISKOS découvrez l’histoire d’Heraklès  comme vous ne l’avez jamais lu ou vu avant. Un récit qui s’émancipe de tous les clichés d’une histoire maintes fois racontées mais dont la richesse, dont les mystères les plus excitants se cachent, comme toujours dans la mythologie grecque, dans les silences, dans les blancs, dans tout ce qui n’est pas dit, qui n’est pas raconté.